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Chirurgie plastique sexuelle féminine


virtual clinicAu sein du règne animal, l’Homme a une place à part, on le sait, mais c’est aussi le cas en ce qui concerne sa sexualité.

C’est le plus faible de tous les mammifères et l’un des plus menacés. Son incapacité à faire face aux dangers qui menacent sa survie est notoire.

Essayons un instant de nous remettre dans le contexte de la nature hostile qui environnait l’homme primitif : il ne possède aucune arme naturelle ; pas de griffes, pas d’éperon coupant, pas de couleur vive et effrayante pour éloigner ses prédateurs, pas de coquille, de carapace ou de venin, pas d’écailles, de chaud pelage ou de plumes, pas de rostre, de canines acérées ni de sabots. Il n’est pas très performant à la course, Il ne voit pas la nuit, son odorat est rudimentaire en comparaison avec celui des canins ou des félins. Ceci en fait donc une proie idéale, peut être même goûteuse pour tous les carnivores.

A son origine donc, l’homme est l’espèce la plus menacée de disparition à première vue.                                        demandez un devis personnalisé

Comment a-t-il réussi non seulement à survivre mais à croître et se multiplier ?

Les explications sont sans aucun doute multiples ; pourtant, deux facteurs essentiels se dégagent :

Le premier, c’est l’intelligence qui est sans aucun doute l’arme principale, la plus redoutable de notre espèce. L’intelligence, cette faculté spécifiquement humaine qui nous permet tout à la fois de nous souvenir, d’anticiper, de prévoir, de programmer, et de s’adapter.

C’est un des moyens d’attaque et de défense les plus puissants et en outre invisible, indétectable.

Cette arme, l’homme l’a utilisée d’abord pour se soustraire à l’agression le plus souvent alimentaire des ses prédateurs.

Plus tard, ce fut pour étendre son territoire et faire disparaître ou pour réduire en esclavage ou à l’état de garde manger la majorité des espèces animales en compétition avec lui.

Le second, c’est la sexualité très particulière de notre espèce qui présente aussi quelques singularités en comparaison avec les autres mammifères :

En ce qui concerne la femme, il faut noter qu’elle est susceptible de s’accoupler à n’importe quel moment de son cycle, y compris hors des périodes de fertilité, sept jours sur sept, vingt quatre heures sur vingt quatre, avec un ou plusieurs partenaires.

Dans les autres espèces animales, il semble que la fertilité soit proportionnelle au nombre d’individus dans un espace donné, et ce, en fonction des ressources du lieu. Rien de tel n’est apparemment observé chez l’Homme.

Il semble par ailleurs que le plaisir sexuel tel que nous le connaissons soit également une caractéristique de l’espèce chez l’homme autant que chez la femme.

A l’inverse de l’animal, chez lequel il existe un instinct irrépressible d’accouplement dont la cause varie en fonction des espèces :(phéromones)

En ce qui concerne le mâle de l’espèce humaine, il est sujet au désir sexuel tout au long de sa vie adulte, avec des particularités ou des déviances qui historiquement n’ont eu aucun retentissement sur la croissance de l’espèce.

La grossesse à un seul œuf étant la règle et le petit d’Homme étant particulièrement fragile, la survie de l’espèce n’était concevable que si on ne laissait échapper aucune chance de conception et de naissance. De là, vient sans doute l’instinct conquerrant du mâle qui se sent émoustillé dès qu’il entrevoit dans son espace vital une femme surtout si cette dernière présente des caractères sexuels secondaires particulièrement bien mis en valeur.

C’est là que commence le long travail de la séduction, qui va motiver chacune et chacun, pratiquement tout au long de sa vie.

La sexualité à pris dans le couple une importance fondamentale ; et mieux encore : la sexualité avec le plaisir qui lui est lié. Le couple n’est plus seulement l’entité élémentaire de la reproduction, mais aussi du plaisir, de l’Harmonie et de l’Amour.

Il arrive pourtant que la sexualité, qui est le ciment du couple et le complément naturel de l’Amour, subisse des « ratés », ne fonctionne pas comme elle devrait, et devrait être possible d’en parler pour chercher des solutions. Cependant, la sexualité pour elle-même, sans désir de grossesse est encore aujourd’hui l’objet de craintes, d’interdits liés à notre passé et notre culture.

Il est pourtant nécessaire de briser les tabous, de surmonter les peurs et de laisser émerger des questions pour lesquelles médecins, gynécologues, chirurgiens et sexologues ont souvent la réponse.

Par contre, la pire des erreurs serait de conserver le statu quo, laissant s’installer des culpabilités et des angoisses qui ne peuvent qu’entériner et pérenniser le dysfonctionnement, voire la dégradation du couple.

Certains de ces dysfonctionnements sont d’origine psychique, culturelle, d’autres sont authentiquement physiques, liés à l’accouchement, à l’anatomie, ou à des modifications chirurgicales ou accidentelles. D’autres enfin peuvent provenir de déséquilibres hormonaux.

Chacun de ces troubles peut être générateur d’un dysfonctionnement avec effet « domino ».                                 demandez un devis personnalisé

Lorsqu’un grain de sable vient s’insérer dans la chaîne du plaisir, l’échec, même s’il est unique, va entraîner une analyse individuelle de chaque partenaire. Cette analyse ne sera pas toujours juste, et entraînera ipso facto des conséquences inadaptées.

La fréquence de ces problèmes, associée à l’inefficacité de l’analyse dans la plupart des cas, peut expliquer que l’on rencontre autant de désarroi dans des couples qui, réunis par l’Amour, devraient avoir tout ce qu’il faut pour perdurer et être heureux.

C’est la raison pour laquelle, des spécialistes ont réuni leurs connaissances pour tenter de considérer les dysfonctionnements sexuels dans leur globalité et de les résoudre sous tous leurs aspects.

Le pivot de cet exercice, c’est le sexologue qui va d’une part faire un diagnostic d’ensemble, d’autre part aider à la remise en route du couple une fois la solution trouvée.

Enfin les artisans d’une structure médicalisée sont à l’écoute des questions les plus intimes, sans tabou, et avec les réponses les plus adaptées pour que chacun trouve son équilibre dans la sérénité et la satisfaction de ses désirs.

La séduction n’est qu’un début…

Continuons le combat, pourrait on ajouter.

Pour une femme, séduire l’objet de ses désirs est somme toute l’enfance de l’Art. L’attirer dans son lit, assouvir son appétit sexuel enflammé, relève presque plus de l’instinct que de la culture ou de la science, pourtant, c’est là que tout commence, car le tissage social débute par la création de l’unité première : le couple, et créer un couple, veut dire tout faire pour garder l’individu séduit comme partenaire exclusif.

Soyons à la fois plus simples et plus clairs : il ne suffit pas d’emmener un homme dans son lit, encore faut il le garder, ou lui donner envie d’y revenir. Ceci parait élémentaire, mais il semble que les femmes occidentales aient quelques lacunes en la matière, ou qu’elles n’aient pas pensé à tout, ou qu’on ne leur ai pas tout appris.

On leur a appris beaucoup de choses, par exemple à rester séduisantes pour tous, à s’habiller, se coiffer, se maquiller, se chausser, se parfumer, marcher, rire, sourire, regarder, suggérer, évoquer, faire rêver. En fait « on » ne leur a généralement rien appris ou pas grand-chose. C’est la consultation des publications pour adolescente , puis pour jeunes filles et plus tard pour jeunes femmes qui se substitue à la mère pour faire cet apprentissage.
Où en est la mère aujourd’hui ? Elle reste une « jeune femme » précisément jusqu’au delà de 60 ans bien souvent, et se positionne donc comme égale voir comme rivale de sa fille. Dans ces conditions, pourquoi voudrait on que la mère communique les secrets qu’elle a pu acquérir au cours des années et au décours des expériences, ou plus rarement par transmission de sa propre mère ?

Dans tous les cas, un « savoir faire » et un « savoir être » amoureux s’est perdu en occident au cours des générations.

Par contre, la transmission se poursuit dans les sociétés plus primitives, souvent plus pauvres, ou la mère présente au foyer remplit intégralement ce rôle de transmission tout en cédant le pas à sa fille en ce qui concerne la séduction à l’exception du père qui est maintenant sensé se tenir tranquille définitivement pour apporter une tendresse exemplaire et exclusive à son épouse.
Qu’est ce qu’on ne leur a pas dit à ces filles concernant entre autre certains détails de leur anatomie ?

Elles connaissent très bien le pouvoir de séduction de leurs yeux et la façon de les faire bouger ; même chose pour la bouche, le sourire et la parole qui lui sont attachés ; ne parlons même pas des effets explosifs d’un décolleté généreux ou même des seins suggérés comme au travers d’un pull moulant avec la variabilité évocatrice torride des mamelons juste visibles au sommet de ce cône des plaisirs inépuisables. Moins évident est le pouvoir des jambes et des chevilles, dont l’effet érotique sur les hommes ressort des plus récents sondages. demandez un devis personnalisé

Par contre, la plupart ne savent pas à quel point l’aspect physique de leur sexe peut avoir un effet de magnétisme positif ou négatif lié à plusieurs facteurs.

En tant que chirurgien esthétique, on vient me demander de modifier le nez, le visage, les paupières, le menton, les seins, le ventre, les fesses, les cuisses….et pourquoi presque jamais le sexe, alors que c’est le but ultime de la séduction et qu’il a une quasi obligation de ne pas décevoir ?

Peut on imaginer que le sexe de Venus, une fois conquis, n’ait plus aucune importance, et que son conquerrant ne se soucie ni de son aspect, ni de sa forme, de sa pilosité, de sa musculature, de sa réactivité, de son humidité, de son odeur, de son élasticité sous la caresse des doigts ou des baisers ? Quelle hérésie !!!

Comment peut on imaginer une chose pareille ?

Les cinq sens sont concernés dans la relation que l’homme établit avec le sexe de sa compagne ou de sa partenaire. La trivialité n’est pas l’objet de ce texte, il est pourtant important d’évoquer en quoi chaque sens a son rôle à jouer dans l’attachement d’un homme pour une femme ce qui la rend à nulle autre pareille.

Avant même que le contact sensoriel se produise en direct, l’imaginaire masculin aura été sollicité par une infinité de détails qui déclenchent à la fois le désir psychique et son parallèle obligatoire et associé, le désir physique, la plupart du temps sous la forme d’une érection.

L’Imaginaire va évoquer les cinq aspects de l’appréhension sensorielle du sexe de Vénus, et il va tenter au cours des préliminaires de valider cette appréhension. Du résultat de cette validation dépendra bien souvent l’avenir de la relation.

Le toucher

Est sans doute le sens le plus immédiatement concerné par l’exploration initiale du sexe de nos partenaires. Il s’agit habituellement du toucher au travers d’un sous vêtement qui est suffisamment bien choisi pour augmenter encore l’excitation masculine : soie, dentelles, tissus fins et moulants, voire adaptés au glissement des caresses, comme le satin.

Au cours des années, ce sous vêtement s’est réduit à l’extrême jusqu’au string, qui aujourd’hui a conquis la majorité des femmes et, disons le sans hypocrisie, pour le plus grand bonheur des hommes.

Malgré tout, la contention naturelle des sous vêtement redonne une certaine fermeté aux tissus biologiques ainsi livrés à la conquête de la caresse du mâle.

A ce stade, surtout lors d’une première rencontre sexuée, le toucher médiat, c’est à dire quand s’interpose un élément, généralement vestimentaire, permet habituellement de savoir si l’excitation de la partenaire a déjà provoqué une humidification de la vulve ou en tout cas son extériorisation.

Lors de ces prémices, tout se passe comme si l’homme essaye de collecter tous les renseignements possibles avant de commencer à contourner le sous vêtement, jusqu’à s’en débarrasser complètement bien entendu, pour alimenter la suite de son excitation, qui devra donc ne pas décevoir maintenant que tous les artifices sont tombés ; deux sont particulièrement importants :

La fermeté de la vulve et surtout des grandes lèvres, qui sont au sexe de la femme ce que le durcissement des muscles peauciers du scrotum est à l’homme. Cette fermeté, palpable et visible, est associée à la fragilité des nymphes, les petites lèvres, à la muqueuse si délicate, qu’on ne découvrira offertes que lorsque la conquête est acquise.

Cette fragilité, cette douceur, est le symbole de l’oblation, du don total, de l’offrande du plaisir. C’est à ce stade de début d’ouverture et d’offrande, que s’affirme le plus la ressemblance avec certaines fleurs, et tout particulièrement avec l’orchidée.

L’autre élément, associé intimement à la fermeté des grandes lèvres et à la douceur des nymphes, est l’humidification de l’ensemble qui correspond au langage biologique qui dit : « viens, je t’attends, je t’espère, je te désire, donne moi les caresses du plaisir et de la passion. » demandez un devis personnalisé

L’odorat

Intervient dans la séduction, dès le début de l’approche, et bien souvent il est matérialisé par l’application de parfums, de déodorants ou d’eaux de toilette.

Sur leur usage, les avis divergent. Pourtant, la variété des fragrances est telle que leurs associations, ajoutées à la transmission particulière et individuelle de chaque peau permet une quasi individualisation des odeurs de chacune.

Cette individualité olfactive est génératrice d’émotions affectives et sexuelles, excitantes pour les uns, pas pour les autres.

En dehors même de l’application de « parfums », chaque personne est porteuse de son odeur propre, « sui generis », à nulle autre pareille, y compris en appliquant une hygiène des plus rigoureuses.

Cette odeur de la partenaire et de ses parties intimes pourra à elle seule engendrer une vive émotion chez l’homme et initier les préludes, en déclenchant une érection si ce n’était déjà fait.

Au cours des préludes, puis lors du rapport sexuel, l’odorat continue d’être un puissant moteur à l’excitation, des deux partenaires d’ailleurs, ou se mêlent progressivement au cours de l’acte d’Amour les effluves de parfums appliqués et les odeurs naturelles des secrétions provoquées par le déroulement des jeux amoureux.

Ce mélange est à la fois complexe et variable d’une fois à l’autre mais très évocateur et suggestif. Pourtant la zone du cerveau qui traite cette information est moins développée que chez la plupart des animaux, notamment les chiens et les chats. Ceci n’empêche que dans le courant de l’évolution des espèces l’Homme a encore de beaux restes de rhinencephale.

Pourtant, beaucoup de femmes occidentales se comportent comme si la séduction était quelque chose de définitif, et que son sexe ne devait plus être que le moyen de faire des enfants.

Mais bien au contraire, il faut l’entretenir, le choyer, lui offrir les plus délicates attentions, le préserver, le protéger aussi parfois.

Autrefois les parents expliquaient aux filles pubères que leur sexe était leur bien le plus précieux et qu’il n’était une richesse que tant qu’il était convoité. Ces principes semblent s’être perdus au cours des années, quelles qu’en soient les raisons. Et c’est grand dommage, car en même temps les filles ont perdu l’habitude de préserver leur sexe comme un trésor.

Les hommes de leur côté sont sans doute un peu moins stupides en Amour qu’il n’y paraît, et ont besoin en permanence d’être émus et stimulés par leur partenaire ; il est donc extrêmement important pour chaque femme de prendre soin de son sexe, quel que soit son age et sa situation pour qu’on ne puisse plus dire comme Alain Souchon : « ce jeu de dupes, voir sous les jupes des filles »

Après vingt ans d’exercice, plusieurs milliers de femmes examinées et opérées, je suis en mesure et en droit d’affirmer que je n’ai jamais vu deux femmes avoir les mêmes seins ni le même sexe, à moins d’être jumelles. Donc il ne faut certes pas dire que l’herbe est plus verte dans le pré d’à côté, mais il ne faut pas non plus laisser croire que tous les sexes se ressemblent. C’est aussi faux que pour les empreintes digitales, ou l’iris des yeux.
Cette exclusivité fait donc toute la richesse du sexe de chaque femme et doit lui donner le tout premier rang dans l’ordre de ses priorités et de ses préoccupations.

Dans certains milieux, et je pense entre autres aux cultures moyen orientales, on a gardé cette conscience de l’entretien authentique des qualités du sexe féminin, et les traditions arabes font que les soins sont répétés et multiples :

L’épilation du pubis et des grandes lèvres est une tradition, complète on partielle, elle correspond à une hygiène et à un climat. La chaleur des pays du moyen Orient entraîne une sudation importante, et nécessiterait des ablutions trop fréquentes. Elle coïncide également avec une pilosité souvent abondante des femmes originaires de ces régions.
De la même façon, on peut remarquer que les femmes occidentales depuis quelques années ont plus tendance à s’épiler, au moins partiellement qu’il y a quelques années. C’est là sans doute un élément à effet de mode, mais qui va dans le bon sens, même si les conditions climatiques septentrionales le justifient moins.

Par contre, cette mode qui correspond à la généralisation des pratiques oro génitales, implique également une découverte « dans les détails »des qualités du sexe ainsi honoré. L’épilation donc, pour souhaitable qu’elle soit, implique des obligations « esthétiques » qui pouvaient être négligées par des femmes préférant conserver une abondante toison. En effet, l’épilation ne permet plus la dissimulation d’une éventuelle hypertrophie des petites lèvres, ou des signes du vieillissement des grandes lèvres sous forme de rides ou de fripures.

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Female sexual plastic surgery


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In the animal kingdom, Man has a place apart, we know, but it is also the case with regard to his sexuality.

It is the weakest of all mammals and one of the most endangered. His inability to cope with the dangers that threaten his survival is notorious.

Let us try for a moment to put ourselves in the context of the hostile nature that surrounded primitive man: he possesses no natural weapon; no claws, no sharp spurs, no bright, scary color to keep predators away, no shell, shell or venom, no scales, warm fur or feathers, no rostrum, sharp canines neither hooves. He does not perform well in the race, He does not see the night, his sense of smell is rudimentary compared to that of canines or felines. This makes it an ideal prey, can be even tasty for all carnivores.

At its origin therefore, the man is the most threatened species of disappearance at first sight.

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How did he manage not only to survive but to grow and multiply?

The explanations are undoubtedly multiple; however, two essential factors emerge:

The first is intelligence, which is undoubtedly the main weapon, the most formidable of our kind. Intelligence, this specifically human faculty that allows us to remember, anticipate, predict, plan, and adapt at the same time.

It is one of the most powerful means of attack and defense and also invisible, undetectable.

This weapon, the man used it first to evade the aggression most often food of its predators.

Later, it was to expand its territory and make disappear or enslave or enslaving the majority of animal species competing with him.

The second is the very peculiar sexuality of our species which also has some singularities in comparison with other mammals:

Regarding the woman, it should be noted that she is likely to mate at any time during her cycle, including outside periods of fertility, seven days a week, twenty-four hours a day, with one or more partners.

In other animal species, it seems that fertility is proportional to the number of individuals in a given space, depending on the resources of the place. Nothing of the sort is apparently observed in humans.

It also seems that sexual pleasure as we know it is also a characteristic of the species in both men and women.

Unlike the animal, in which there is an irrepressible instinct of mating whose cause varies depending on the species: (pheromones)

As for the male of the human species, he is subject to sexual desire throughout his adult life, with particularities or deviances that have historically had no impact on the growth of the species.

The single-egg pregnancy being the rule and the little one of Man being particularly fragile, the survival of the species was conceivable only if no chance of conception and birth were allowed to escape. Hence, comes probably the conquering instinct of the male who feels exhilarated as soon as he sees in his vital space a woman especially if the latter has secondary sex characteristics particularly well developed.

This is where the long work of seduction begins, which will motivate each and everyone, practically throughout his life.

Sexuality in the couple is of fundamental importance; and even better: sexuality with the pleasure that is linked to it. The couple is not only the elementary entity of reproduction, but also of pleasure, Harmony and Love.

It happens, however, that sexuality, which is the cement of the couple and the natural complement of Love, undergo “failures”, does not work as it should, and should be possible to talk about to find solutions. However, sexuality for itself, without desire for pregnancy is still today the object of fears, prohibitions related to our past and our culture.

It is however necessary to break the taboos, to overcome the fears and to let emerge questions for which doctors, gynecologists, surgeons and sexologists often have the answer.

On the other hand, the worst mistake would be to maintain the status quo, letting go of guilt and anxiety that can only endorse and perpetuate the dysfunction or even the degradation of the couple.

Some of these dysfunctions are psychic, cultural, others are authentically physical, related to childbirth, anatomy, or surgical or accidental changes. Others may come from hormonal imbalances.

Each of these disorders can generate a malfunction with “domino” effect.

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When a grain of sand comes into the chain of pleasure, failure, even if it is unique, will lead to an individual analysis of each partner. This analysis will not always be accurate, and will ipso facto lead to inappropriate consequences.

The frequency of these problems, combined with the inefficiency of the analysis in most cases, may explain the fact that there is so much confusion in couples who, reunited by Love, should have all that is needed to endure and be happy.

This is why specialists have pooled their knowledge to try to look at sexual dysfunction as a whole and to solve it in all their aspects.

The pivot of this exercise is the sexologist who will on the one hand make a diagnosis of the whole, on the other hand help to restart the couple once the solution found.

Finally the craftsmen of a medical structure are attentive to the most intimate questions, without taboos, and with the most adapted answers so that each one finds his equilibrium in the serenity and the satisfaction of his desires.

Seduction is only a beginning …

Let’s continue the fight, could we add.

For a woman, to seduce the object of her desires is, after all, the childhood of Art. To lure him into bed, to satisfy his fiery sexual appetite, is almost more instinct than culture or science, yet that’s where it all starts, because social weaving begins with the creation of first unit: the couple, and creating a couple, means doing everything to keep the individual seduced as an exclusive partner.

Let’s be at once simpler and clearer: it is not enough to take a man to his bed, he must still be kept, or make him want to come back. This seems basic, but it seems that Western women have some shortcomings in this area, or that they have not thought about everything, or that they have not learned everything.

They have been taught many things, for example to stay attractive for all, to dress, to do their hair, to put on their makeup, to put on their shoes, to perfume themselves, to walk, to laugh, to smile, to look, to suggest, to evoke, to dream. In fact, “we” did not usually teach them anything or not much. It is the consultation of the publications for teenager, then for girls and later for young women that replaces the mother to do this learning. 
Where is the mother today? She remains a “young woman” precisely well beyond 60 years, and is therefore positioned as equal to see as a rival of his daughter. In these conditions, why would we want the mother to communicate the secrets she has been able to acquire over the years and after the experiments, or more rarely by transmitting her own mother?

In any case, a “know how” and a “knowing how to be” in love has been lost in the West over the generations.

On the other hand, transmission continues in more primitive, often poorer societies, where the mother at home fully fulfills this role of transmission while giving way to her daughter with respect to seduction except for the father who is now supposed to keep quiet definitely to bring an exemplary and exclusive tenderness to his wife.

What did not these girls tell them about some details of their anatomy?

They know very well the seductive power of their eyes and how to move them; the same thing for the mouth, the smile and the word attached to it; let’s not even talk about the explosive effects of a generous cleavage or even suggested breasts as through a tight sweater with the sizzling evocative variability of nipples just visible at the top of this cone of inexhaustible pleasures. Less obvious is the power of the legs and ankles, whose erotic effect on men emerges from the most recent polls. 

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On the other hand, most do not know how much the physical aspect of their sex can have a positive or negative magnetism effect related to several factors.

As a cosmetic surgeon, I am asked to modify the nose, the face, the eyelids, the chin, the breasts, the belly, the buttocks, the thighs … .and why almost never sex, whereas it is the ultimate goal of seduction and that it has a quasi obligation not to disappoint?

Can we imagine that Venus’s sex, once conquered, has no more importance, and that his conquerrant does not care about its appearance, its shape, its hairiness, its musculature, its reactivity, its its moisture, its smell, its elasticity under the caress of fingers or kisses? What heresy!

How can one imagine such a thing?

The five senses are concerned in the relation that man establishes with the sex of his companion or his partner. The triviality is not the object of this text, it is nevertheless important to evoke in what way each sense has its role to play in the attachment of a man for a woman which makes it like no other.

Even before the sensory contact takes place directly, the male imagination has been solicited by an infinity of details that trigger both the psychic desire and its obligatory and associated parallel, the physical desire, mostly in the form of an erection.

The Imaginary will evoke the five aspects of the sensory apprehension of Venus’ sex, and he will try during the preliminaries to validate this apprehension. The result of this validation will often depend on the future of the relationship.

Touch

Is undoubtedly the sense most immediately concerned by the initial exploration of the sex of our partners. It is usually touch through an undergarment that is sufficiently well chosen to further increase the male excitement: silk, lace, fine fabrics and tight, even adapted to the slippage of caresses, such as satin.

Over the years, this undergarment has been reduced to the extreme until the thong, which today has conquered the majority of women and, say without hypocrisy, to the delight of men.

Nevertheless, the natural restraint of the underwear restores a certain firmness to the biological tissues thus delivered to the conquest of the caress of the male.

At this stage, especially during a first sexual encounter, touch mediates, ie when an element intervenes, usually clothing, usually allows to know if the excitation of the partner has already caused a humidification of the vulva or at least its externalization.

At these beginnings, everything happens as if the man tries to collect all possible information before starting to work around the undergarment, until completely get rid of it of course, to feed the rest of his excitement, which will have to so do not disappoint now that all the artifices have fallen; two are particularly important:

The firmness of the vulva and especially of the labia majora, which are to the sex of the woman what the hardening of the skin muscles of the scrotum is to the man. This firmness, palpable and visible, is associated with the fragility of the nymphs, the labia minora, with the mucosa so delicate, that one will discover offered only when the conquest is acquired.

This fragility, this gentleness, is the symbol of the oblation, of the total gift, of the offering of pleasure. It is at this stage of the beginning of opening and offering that the most resemblance to certain flowers, and especially to the orchid, is affirmed.

The other element, intimately associated with the firmness of the labia majora and the sweetness of the nymphs, is the humidification of the whole which corresponds to the biological language which says: “come, I wait for you, I hope you, I desire you, give me the caresses of pleasure and passion. » 

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The smell

Intervenes in seduction, from the beginning of the approach, and often it is materialized by the application of perfumes, deodorants or eau de toilette.

On their use, the opinions diverge. However, the variety of fragrances is such that their associations, added to the particular and individual transmission of each skin allows an almost individualization of the smells of each.

This olfactory individuality is generative of emotional and sexual emotions, exciting for some, not for others.

Apart from the application of “perfumes”, each person carries his own smell, “sui generis”, like no other, including applying the most rigorous hygiene.

This smell of the partner and its intimate parts alone can generate a strong emotion in humans and initiate preludes, triggering an erection if it was not already done.

During the preludes, then during the sexual intercourse, the sense of smell continues to be a powerful engine to the excitation, of the two partners besides, or mix gradually during the act of Love the scent of perfumes applied and natural smells of secretions caused by the conduct of love games.

This mixture is both complex and variable from one time to the next but very evocative and suggestive. Yet the area of the brain that processes this information is less developed than most animals, including dogs and cats. This does not prevent that in the current of the evolution of the species the Man still has beautiful remains of rhinencephalon.

Yet many Western women behave as if seduction is something definitive, and their sex should be no more than a means of raising children.

But on the contrary, it is necessary to maintain it, to pamper it, to offer it the most delicate attentions, to preserve it, to protect it also sometimes.

Formerly parents explained to pubescent girls that their sex was their most precious possession and that it was only a wealth as long as it was coveted. These principles seem to have been lost over the years, for whatever reason. And it’s a shame, because at the same time girls have lost the habit of preserving their sex as a treasure.

Men on their side are probably a little less stupid in love than they seem, and need to be constantly moved and stimulated by their partner; It is therefore extremely important for every woman to take care of her sex, regardless of her age and her situation so that we can no longer say like Alain Souchon: “this game of dupes, see under the skirts of girls”

After twenty years of exercise, several thousand women examined and operated, I am able and right to say that I have never seen two women have the same breasts or the same sex, unless they are twins. So we must not say that the grass is greener in the meadow next door, but it should not be suggested that all sexes are similar. This is as false as for fingerprints, or the iris of the eyes. 
This exclusivity thus makes all the richness of the sex of each woman and must give her the first rank in the order of her priorities and concerns.

In some circles, and I think among other Middle Eastern cultures, we have kept this awareness of genuine maintenance of the qualities of the female sex, and the Arab traditions make that the care is repeated and multiple:

Hair removal of the pubic and labia majora is a tradition, complete or partial, it corresponds to a hygiene and a climate. The warmth of Middle Eastern countries causes considerable sweating, and would require too frequent ablutions. It also coincides with the often abundant hairiness of women from these regions. 
Similarly, it may be noted that Western women in recent years are more likely to wax, at least partially than a few years ago. This is probably a fad, but it goes in the right direction, even if the northern climatic conditions justify it less.

On the other hand, this fashion, which corresponds to the generalization of oro-genital practices, also implies a discovery “in the details” of the qualities of the sex thus honored. Hair removal therefore, desirable as it may be, implies “aesthetic” obligations that could be neglected by women preferring to keep an abundant fleece. Indeed, hair removal no longer allows the concealment of a possible hypertrophy of the labia minora, or signs of aging of the labia majora in the form of wrinkles or cracks.

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